L’Agence

 

2003


L’Histoire :


Qui n’a pas eu jour la tentation de changer de vie ? Combien ont osé franchir le pas ?

Quand tout va de travers à Paris, Juliette retourne dans ce Gers où, enfant, elle passait de merveilleuses vacances. Elle y crée Changer Tout, une agence originale qui permettra à ceux qui le souhaitent de relancer les dés, de tout changer, de s’acheter une nouvelle existence clés en main. Chacun va apporter à l’aventure sa part de mystère et de rêve… et apprendre à Juliette qu’il est toujours possible d’oser le bonheur.


Dans les Coulisses du livre :


C’est ma seconde joyeuse collaboration avec Bernard Barrault et Françoise Delivet chez Robert Laffont.

Ce roman est dédié « à tous ceux qui ont des rêves ».

Il est librement inspiré de l’histoire de Marie de la Forest, une géniale journaliste qui a quitté Paris pour le Gers où elle a monté l’agence Changer Tout puis le magazine Changer Tout et qui est fondatrice de l'agence de presse Com'Presse.

Dans ce roman, on parle du Gers et de la Gascogne, de foie gras et d’armagnac, d’un petit garçon diabétique, d’un menuisier, d’un saxophoniste, d’amour, de chiens et d’une agence originale qui change la vie.

Ce livre a reçu le prix des Maisons de la Presse 2003, un rêve absolu : on ne vous offre ni argent ni médaille, mais une mise en place spéciale dans les Maisons de la Presse, donc des lecteurs en plus, un superbe cadeau pour un écrivain !



Première ligne :


Juliette entra sans frapper dans le bureau de Loïc, son rédacteur en chef.



Musiques :


La Quête de Jacques Brel,

Take Five de Dave Brubeck



Autres éditions :


J’ai Lu

édition en gros caractères


Traductions :


Italien, Allemand, Brésilien




L’erreur qui tue :


A propos d’un petit garçon diabétique, j’ai écrit la phrase « il doit s’injecter des produits chaque jour que Dieu fait », qui concernait l’insuline de son traitement. Ce médicament s’injecte en sous-cutané, mais absolument pas dans la circulation. Après la correction du correcteur, c’est devenu « s’injecter des produits chaque jour que Dieu fait dans les veines ». C’est évidemment une grosse grosse énormité.