Chateau en Champagne

 

1997


L’Histoire :


Avec sa balancelle, sa terrasse et son armoire aux trésors, le château Mervège évoque une enfance heureuse. Le décès d’Alice Darange, héritière du champagne Mervège, menace ce coin de paradis.

Cette chronique d’une vie de château, nourrie de cépages et de raisins, serre le cœur parfois, fait rire souvent. Sur fond de vignes, l’auteur voit la vie en bulles, arrose le passé, lève son verre à l’amour et fait pétiller l’avenir.

Chez Flammarion, j’ai eu la chance de travailler avec Héloïse d’Ormesson.



Dans les Coulisses du livre :


J’ai écrit ce roman en souvenir de ma grand-mère champenoise dont le grand-père Eugène Mercier avait fondé la maison de champagne du même nom. On y apprend comment se fabriquent les bulles qui pétillent dans nos verres. Il y a un mariage dans une chapelle de Las Vegas, une promenade en péniche, l’entraînement des cosmonautes à la Cité de l’Espace, un bain dans une baignoire de champagne.

Ce livre a obtenu le prix Anna de Noailles de l’Académie française 1998, aller chercher la médaille sous la coupole des Immortels a été un moment intense.


Première Ligne :


Alice Darange, petite-fille d’Emile Mervège, fondateur de la maison de champagne du même nom, regardait courir ses fils à l’ombre des tourelles du manoir familial, le long des eaux sombres de la Marne, dans le crayeux paysage champenois.


Musique :


Il faut Vivre, Serge Reggiani


L’erreur qui tue :


Dans la version Flammarion de ce roman, un avion de guerre allemand bombarde la Champagne en août 1940, c’est évidemment totalement historiquement impossible, c’était une coquille au début, je ne l’ai pas corrigée, les correcteurs ne l’ont pas corrigée, l’avion continue à voler... toutes mes excuses !

Dans la version poche chez J’ai Lu il vole en mai 1940, et là c’est bon.


Traductions :


Allemand,


Autres éditions :


J’ai Lu

éditions en gros caractères